Un instant au pied du Sacré-Cœur
Marc Chagall disait : « A Paris, je ne visitais ni académie, ni professeurs. Je les trouvais dans la ville même, à chaque pas, dans tout. C’étaient les commerçants du quartier de Montmartre, les garçons de café, les concierges, les paysans, les ouvriers. Autour d’eux planait cette étonnante lumière, liberté que je n’ai jamais vue ailleurs. »
Nous ne saurons jamais quelles histoires essentielles se sont déroulées sur les marches du Sacré-Cœur, mais nous devinons les odeurs des repas partagés, les rires des instants vécus et l’intensité des projets imaginés ensemble.
Alors, si un jour vous flânez non loin de la rue Foyatier, vous percevrez peut être un léger souffle d’été. C’est un petit détail, presque imperceptible, mais bon il est le souvenir d’instants juillet, le signe que Montmartre gardait en lui, et vous offre pour vous rappeler ce qui est essentiel.